30 octobre 2004- La sécheresse sévit en Chine de l'est
La sécheresse qui sevit dans la province du Jiangxi (est de la Chine), a affecté plus de 202 000 hectares de cultures et a fait souffrir de pénurie d'eau potable 620 000 habitants locaux et 260 000 bestiaux.
Les dernières statistiques, publiées par le Commandement de Lutte contre les Inondations et la Sécheresse du Jiangxi, montrent que la moyenne des précipitations dans la province au cours des 4 derniers mois était de 374 milimètres, soit 88% de celles de la période correspondante de ces dernières années.
En septembre, les précipitations ont baissé jusqu'à quelques millimètres alors qu'au mois d'octobre, il n'est pas tombé une goutte de pluie dans trois principales villes du Jiangxi, y compris Nanchang, chef-lieu de la province. 374 réservoirs se sont épuisés fin d'octobre au Jiangxi et le volume total d'eau retenue dans les barrages de la province a diminué jusqu'à 10,5 milliards de mètres cubes, soit 580 millions de mètres cubes de moins que la moyenne de ces dernières années.
Les départements de météorologie locaux ont prévu 80 ou 90 millimètres de précipitations seulement d'ici la fin d'année. Les gouvernements locaux sont appelés à renforcer le contrôle d'eau et de chercher de nouvelles sources pour assurer l'approvisionnement en eau potable.
Source : China radio international, l'article

30 octobre 2004- Aucun risque d'extension de la leptospirose et de la typhoïde
Aucun risque d'extension de la leptospirose et de la typhoïde vers la ville de Meknès ou les agglomérations environnantes n'est à craindre en raison des caractéristiques épidémiologiques de ces deux maladies et des mesures prises par les départements concernés.
Les cas signalés de ces deux maladies sont parfaitement circonscrits dans la localité de Moussaoua (30 km de Meknès) et dans la localité d'Ouled Youssef (50 km de Meknès) et ils ont été maîtrisés.
Tous les malades, hospitalisés ou traités à domicile sont soit déjà guéris soit en bonne voie de guérison et aucun nouveau cas de maladie n'est enregistré dans ces localités. Le rétablissement de l'approvisionnement en eau potable à Ouled Youssef et les actions de dératisation et de ramassage d'ordures à Moussaoua contribueront au retour à une situation normale dans ces deux localités.
Source : Meknes-net, l'article

29 octobre 2004- Concours Wash 2004, l'Afrique à l'honneur
Théodore Kouadio de la rédaction Internet du groupe Fraternité Matin vient d’être primé par la 1^ère édition du concours des média sur l’eau, l'assainissement et l'hygiène (Wash) 2004.
Le concours Wash 2004 est organisé par le Conseil de Concertation pour l'Approvisionnement en Eau et l'Assainissement (WSSCC), une structure de l’Onu basée à Genève en Suisse à l’intention des journalistes de pays en voie de développement. Pour cette première édition, le Jury international a évalué plus de 100 candidatures du secteur de la presse, de la radio et de la télévision parmi lesquelles les meilleurs articles ont été retenus.
Les prix seront décernés à ces lauréats en marge du forum mondial sur l’eau, l'assainissement et l'hygiène (Wash) 2004 qui se tiendra du 29 novembre au 03 décembre à Dakar au Sénégal.
Source : Fraternité Matin, l'article

29 octobre 2004- La production d'eau potable coûte très cher
L’eau est payante, même au niveau des bornes-fontaines. Le tarif le moins cher de la Jirama est de 975 Fmg/m³, alors que le coût de revient moyen est de 1.800 Fmg/m³, soit une perte moyenne de 825 Fmg/m³.
La cherté du traitement s’explique par les différents intrants indispensables pour produire de l’eau potable. Le taux de ces intrants a doublé ces dernières années à cause de la dégradation de l’environnement qui pollue l’eau.
Les pertes techniques sont presque évidentes quand on sait que dans la capitale, dotée d’un réseau de 1.000 km, certains tuyaux datent de 1920 et que la demande ne cesse d’augmenter, surtout dans la capitale.
Source : La Gazette de la Grande Ile, l'article

29 octobre 2004- Château d'eau de 59 millions de f pour Larabia et Assé
Inauguration d'un important ouvrage de distribution d'eau potable.
Les populations des villages de Larabia et d'Assé dans la sous-préfecture de Bonoua ont réceptionné leurs équipements du système d'hydraulique villageoise améliorée (HVA).
Le système HVA est composé d'un château d'eau d'une capacité de 20 m³. A cette cuve d'eau sont raccordés un forage dont le débit d'exploitation est de 15 m³/heure, un réseau de canalisations reliant le forage au château d'eau et du château d'eau aux bornes fontaines qui sont au nombre de cinq et uniformément réparties dans le village. Les travaux financés sur le budget 2003, coûteront 59 millions de francs cfa. Ces équipements permettront d'alimenter non seulement Larabia mais pourraient desservir à l'horizon 2005, les villages environnants en l'occurrence Assé et Médina, soit pour une population totale de 4372 habitants.
Source : allAfrica.com, l'article

27 octobre 2004- Assises de l`Association africaine de l`eau à Abidjan
Après 23 ans d`existence l'AAE a décidé de changer de cap et entend amorcer une autre étape de sa croissance avec l`objectif de réussir le pari d`un partenariat pour l`accès durable des populations africaines aux services de l`eau potable et de l'assainissement.
Selon le ministre d'Etat ivoirien des Infrastructures économiques, des problèmes de financement et de gestion sont à l`origine des dysfonctionnements rendant l`eau parfois indisponible pour la population et l`Etat ivoirien n`a pas assez de moyens pour jouer son rôle de développement et de modernisation du réseau national. A cet effet il est obligé de solliciter l`aide des bailleurs de fonds qui deviennent de plus en plus hésitants lorsqu`il s`agit des appuis budgétaires.
Face à cette situation, son gouvernement a engagé des réformes et des réflexions allant jusqu`à l`option de confier une partie de ses responsabilités au concessionnaire, la Société de distribution d`eau (SODECI), à qui l`exploitation du réseau a déjà été cédée depuis une décennie environ.
A ces difficultés de gestion, il faut ajouter l`épineuse question de l`hydraulique villageoise à laquelle il faut également trouver des solutions quand 75 à 80% des installations rurales sont en état de défection faute d`entretien et de suivi.
Source : AngolaPress, l'article

27 octobre 2004- Eau potable pour tous les citadins en 2010
Toutes les populations urbaines et 80-90% des habitants ruraux auront accès à l'eau potable en 2010, selon l'objectif publié à un colloque international sur l'environnement au Vietnam tenu mardi à Hanoi, sous les auspices du Département de la protection de l'environnement (ministère des Ressources naturelles et de l'Environnement), d'une compagnie de recherche environnementale de la Pologne (ASG) et d'une autre de la République Tchèque (DEKONKA).
Pour atteindre l'objectif défini, il faut se concentrer sur deux tâches majeures : achever les systèmes d'approvisionnement en eau potable dans près de 700 centres urbains et établir de nouveaux réseaux vers 2010 pour les centres urbains qui seront élargis.
Selon les estimations, les cours d'eau sur le territoire vietnamien fournissent environ 255 milliards de m³ par an, tandis que les nappes d'eau souterraines, environ 50 milliards de m³.
Source : Agence Vietnamienne d'Infomation, l'article

26 octobre 2004- Conférence internationale sur l'eau et l'hygiène environnementale au Laos
La 30e Conférence internationale de cinq jours sur l'eau et l'hygiène environnementale se déroule cette semaine à Vientiane (Laos), avec la participation de près de 400 délégués venus de plusieurs pays et des organisations internationales.
Le vice-Premier ministre et président du Comité du Plan et de la Coopération du Laos, Thongloun Sisoulith, a demandé aux participants d'échanger des expériences sur la vision, la politique ainsi que sur les méthodes de développement des services d'approvisionnement en eau et de prêter attention à la protection des sources d'eau naturelles et à l'environnement.
Le gouvernement lao a défini une politique assurant l'équilibre entre le développement et la protection de l'environnement. Cela figure dans la stratégie de développement socio-économique et de refus de la misère du Laos qui comprend plusieurs projets de développement des sources d'eau, de reboisement et de renforcement du système écologique.
Source : Agence Vietnamienne d'Infomation, l'article