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Revue de presse internationale hebdomadaire
semaine N°43 du 18 au 24 octobre 2004
Zone géographique
Pays / ville

                                   Informations
                                  
(triées par date)

  Canada
  Montréal
24 octobre 2004- Les compteurs d'eau arrivent à Montréal
L'administration du maire lancera un appel d'offre pour l'installation de près de 24 000 compteurs d'eau qui équiperont, d'ici cinq ans, les immeubles industriels, commerciaux et institutionnels montréalais.
La production d'eau potable coûte annuellement, pour l'ensemble de l'île, quelque 280 millions de dollars, une facture que l'administration du maire espère réduire substantiellement grâce à la généralisation de l'implantation de compteurs d'eau.
Ainsi, ces compteurs, dont l'installation sera financée à même un fonds spécial de la Ville dédié à la gestion de l'eau, pourraient se retrouver dans 21 arrondissements à l'horizon 2010 et même, comme c'est actuellement le cas à Lasalle et Saint-Léonard, et dans certaines résidences.
Les industries, commerces et institutions consomment près des deux-tiers de l'eau potable montréalaise.
Source : Radio-Canada, l'article

  Vietnam
  Hanoi
24 octobre 2004- Une réserve pour protéger les poissons d'eau douce
Le projet de protection de la "réserve des poissons d'eau douce" déployé depuis juillet dans la commune Vinh Thanh Trung, de la province deltaïque d'An Giang, a réussi à protéger 100 tonnes de poissons en période de reproduction.
Situé au confluent de fleuve, le hameau de Binh An Thanh a été choisi pour réaliser le projet d'un coût de 10.000 dollars, financé grâce à l'aide de l'organisation mondiale de poissons (ISLAM) en coordination avec l'université de Can Tho. Le projet est établi sur une superficie de 3.000 m2.
La localité va élargir et draguer la réserve de poissons d'eau douce sur environ 10.000 m2. Quelque 70 foyers de paysans participant directement au projet sont initié à l'élevage, à la culture de champignons, à la vannerie... car la pêche est désormais limitée.
Source : Agence Vietnamienne d'Infomation, l'article

  Bénin
  Cotonou
24 octobre 2004- Eau potable pour 4,2 millions de Béninois
Quelque 4,2 millions de Béninois sur les 11 millions que comptera le pays en 2015 auront accès à l`eau potable durant la période allant de 2004 à 2015, révèle une étude du ministère béninois des Mines, de l`Energie et de l`Hydraulique.
Selon le document de stratégie nationale de l`approvisionnement en eau potable en milieu rural du Bénin, pour la période 2004- 2015, l`objectif du gouvernement béninois est d`assurer, à l`horizon 2015, un taux de desserte global d`environ 67% et une couverture hydraulique équitable entre les départements du pays.
Ainsi, pour atteindre cet objectif au cours de la période 2004-2015, le gouvernement béninois envisage de réaliser 16.890 points d`eau, soit environ 1.400 points d`eau par an et deréhabiliter environ 2.300 points d`eau, soit environ 190 points d`eau par an en moyenne.
La même étude rappelle qu`actuellement, près de la moitié de la population béninoise, estimée à 6.855.541 d`habitants en 2003, n`a pas accès à l`eau potable.
Source : Angola Press, l'article

  Afrique
  Sénégal
24 octobre 2004- Le choléra est dans la ville
Un dispositif de surveillance épidémiologique a été mis en place pour renforcer les mesures de prévention contre le choléra, à l’issue de la collaboration entre les services du ministère de la Santé et de la Prévention médicale avec l’Institut Pasteur et la Clinique des maladies infectieuses.
Un comité national a été créé pour suivre l’évolution de la situation. L’information du personnel de santé sur la maladie a été relancée pendant que les médicaments et les fournitures nécessaires, ont été mis en place dans les structures sanitaires.
Pour mieux se prévenir contre le choléra, les populations sont invitées à suivre certaines mesures au quotidien. Il s’agit de veiller à l’hygiène de l’eau et à la salubrité des aliments par des règles simples : bouillir ou filtrer l’eau, traiter les fruits et les légumes à l’eau de javel, bien cuire les aliments qu’il faut protéger des parasites, se laver les mains avec du savon et désinfecter le matériel en contact avec les aliments. La consommation de boisson contenue dans les sachets en conditionnement artisanal est également déconseillée pour parer à la contagion du choléra.
Le contrôle sanitaire au niveau des frontières sera renforcé et une attention particulière accordée aux établissements scolaires, précise le communiqué du ministère de la Santé et de la Prévention médicale.
Source : Le Quotidien, l'article

  Cameroun
  Douala
24 octobre 2004- Le choléra est toujours là
De janvier à octobre 2004, l’épidémie du choléra a sévi dans sept provinces du Cameroun (Littoral, Ouest, Extrême-nord, Sud, Sud-ouest, Centre et Est), avec un bilan global de 7390 cas dont 130 décès, et un taux de létalité de 1,7 %. Le Littoral a été la province la plus touchée avec 5254 cas de malades parmi lesquels 5148 personnes ont recouvré la santé et 55 en sont mortes.
Douala ayant une population de près de 2,5 millions d’habitants, la Snec pour améliorer son approvisionnement en eau projette de construire 8 forages urbains, pour 15.000 m3 d’eau de plus par jour. Cette eau sera directement injectée dans le réseau.
Un plan d’urgence a été remis au ministre de la Santé publique. Il comporte un plan de communication, une cellule de riposte, un rapport épidémiologique bimensuel, une prise en charge gratuite, une réunion d’évaluation tous les deux mois, aménager un espace d’isolement dans les hôpitaux, améliorer l’accès à l’eau potable, le retour des bornes-fontaines publiques dans les quartiers.
Source : Le Messager, l'article

  Maroc
  Casablanca
20 octobre 2004- Nappe phréatique polluée et surexploitée
A Casablanca, les utilisateurs des eaux des puits doivent faire très attention. La nappe phréatique qui coule sous la ville peut être à l’origine de plusieurs problèmes de santé. Elle est également surexploitée. Ce sont, en effet, 10 millions de m3 par an qui y sont puisés. Une étude menée récemment par Lydec tire la sonnette d’alarme.
Située à des profondeurs comprises entre 10 et 40 m, la nappe est beaucoup plus proche de la surface du sol en zone côtière et présente des risques d’intrusion marine. C’est une nappe libre et pelliculaire, alimentée par les apports pluviaux et en partie par les débordements de la nappe de Berrechid, à travers le seuil de Médiouna, commune dans laquelle se trouve la grande décharge publique. D’autres facteurs participent également à cette détérioration comme les insecticides utilisés dans l’agriculture, les industries qui rejettent des acides et le développement de l’aviculture autour de la ville.
Source : L'Economiste.com, l'article

  Maroc
  
18 octobre 2004- Menace d’une grave pénurie d’eau d’ici à 20 ans
Le potentiel des ressources en eau qui était de 2 560 m3 par habitant en 1960 est tombé aujourd’hui à 900 m3. Pour garantir 745 m3 par habitant et par an à l’horizon 2020, l’Etat devra investir au minimum 3 milliards de DH/an.
Le potentiel actuel n’est pas uniforme sur l’ensemble du pays puisque, du nord au sud, il varie de 1 850 m3 à 100 m3 à peine. Si le pays doit son stress hydrique à sa situation géographique (zone semi-aride à aride), le Maroc souffre aussi de grandes disparités en matière de pluviométrie.
Le rythme de construction de 2 à 3 barrages par an qui sera maintenu jusqu’en 2030 va permettre au pays d’assurer un potentiel de 745 m3 par habitant en 2020. D’après une étude non encore validée, l’infrastructure qui permettrait de transférer les eaux excédentaires du nord vers le centre porterait sur quelque 13 ouvrages, nécessitant un investissement total dépassant les 10 milliards de DH.../...
Source : Casafree, l'article


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