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Informations, études

Symbolique du drapeau libanais
Informations pays
L’eau douce en Asie occidentale
Etude de la DREE


Symbolique du drapeau libanais

Le célèbre cèdre du Liban qui figure au centre est apparu sur un drapeau en 1861.
Le rouge représente l'abnégation du peuple, et le blanc la paix. Ces deux couleurs sont également liées aux Kassites et aux Yéménites, qui se partagèrent le contrôle du pays jusqu'au 18ème siècle. Ce drapeau fut officiellement adopté en 1943, au moment de la proclamation d'indépendance.



Informations pays :

Population : 4,4 millions habitants (source 2001)
Superficie : 10 452 km2
Pays montagneux avec plusieurs sommets à plus de 2 000 et 3 000 m : le mont Liban, 3 083 m, 2659 m au Tal at Musa ...

Selon le programme des Nations Unies pour l'environnement -informations diffusées lors de la célébration internationale de la Journée mondiale de l’environnement au Liban, le 5 juin 2003 :
  • Le taux d’alphabétisation des adultes a augmenté au cours des deux dernières décennies pour atteindre 92 % de la population ;
  • 30 % de la population est âgée de moins de 15 ans ;
  • Environ 550 hectares de forêts ont été perdus chaque année au Liban entre 1961 et 1997, du fait notamment d’incendies, d’abattage des arbres et d’empiétement des zones urbaines ;
  • Le Liban est au nombre des pays de la région qui reconnaissent maintenant l’utilité des forêts et il a pris des mesures importantes pour les protéger dans l’intérêt de la faune et de la flore sauvages et afin de promouvoir l’écotourisme;
  • 60 % des 4,4 millions d’habitants du Liban vivent sur une bande côtière très étroite;
  • L’érosion des sols, estimée à 33 tonnes par hectare, et la sédimentation menacent les zones côtières. Le Liban est membre du Plan d’action du PNUE pour la Méditerranée. En 2001, le Liban a lancé un Projet d’aménagement des zones côtières au sud du pays ;
  • La surexploitation de la nappe aquifère de la zone côtière du Liban a provoqué des infiltrations d’eau de mer et, ultérieurement, une augmentation de 340 à 22 000 mg/litre dans certains puits près de Beyrouth;
  • L’industrie du ciment est responsable de plus de 77 % des émissions industrielles.



L’eau douce en Asie occidentale

Selon les estimations du dernier rapport sur l’Avenir de l’environnement mondial, GEO-3 (GEO: Global Environment Outlook 3 |le passé, le présent et les perspectives d’avenir), plus de la moitié de la population mondiale court le risque de vivre dans des régions souffrant d’un grave manque d’eau d’ici à 2032.

L’Asie occidentale qui comprend la Péninsule d’Arabie et les pays du Machrek, (Irak, Jordanie, Liban, Syrie et Territoires palestiniens), sera vraisemblablement la plus touchée. Plus de 90 % de la population devrait vivre dans des régions « de stress hydrique grave » dans moins de 30 ans si des mesures ne sont pas prises d’urgence, conclut le rapport.

D’après GEO-3, la croissance démographique rapide, qui est dans certaines parties de la région de 3 % par an, déclenche des pénuries d’eau et un stress hydrique dans de nombreux pays. Plus de 80 % de l’eau est utilisée dans l’agriculture. La demande est supérieure à l’offre, notamment dans la Péninsule d’Arabie où l’indice de stress hydrique (exprimé en pourcentage de l’eau utilisée par rapport aux ressources en eau disponibles) est supérieur à 100 % pour cinq des sept pays.

Les ressources anciennes en eaux souterraines, souvent irremplaçables, sont “exploitées” pour satisfaire la demande. Dans certaines régions, la pénétration d’eau de mer dans les nappes aquifères pose de plus en plus problème. La salinité des eaux souterraines dans certaines nappes aquifères côtières du Liban est passée, ces dernières années, de 340 à 22 000 milligrammes par litres.

Plusieurs pays ont récemment commencé à faire des tentatives pour encourager l’utilisation efficace de l’eau en prenant par exemple des mesures de soutien aux systèmes d’irrigation modernes, de contrôle de la qualité et de gestion des approvisionnements en eaux souterraines. La réutilisation des eaux usées dans les pays du Machrek est passée de zéro au début des années 1970 à environ 51 millions de mètres cubes par an au début des années 1990.




Etude de la DREE

La Dree met en vente sur son site dédié au Liban l'étude suivante dont un résumé est présenté ci-dessous.

L'eau et l'irrigation au Levant
Nombre de Pages : 168
Date de Rédaction : 24/06/2003
Site émetteur : DAMAS
Prix : 230.00 € H.T.


""En raison de sévères contraintes naturelles, l’eau est une ressource disponible en quantité très limitée dans la région (Syrie, Liban, Jordanie, Territoires Palestiniens). La préservation de l’eau apparaît dés lors comme un enjeu économique, social et politique d’envergure.

Certains pays sont toutefois, d’un point de vue hydrologique, plus avantagés que d’autres : tel est le cas notamment du Liban en comparaison à la Jordanie et aux Territoires Palestiniens, la Syrie se situant dans une position intermédiaire.

La ressource est actuellement fortement exploitée sous le poids d’une consommation en constante augmentation, émanant de la sphère domestique, industrielle et surtout agricole. Cette dernière est contrainte d’utiliser l’irrigation afin de maintenir ou d’intensifier la production. Cette technique agricole est aujourd’hui extrêmement consommatrice d’eau, soit en moyenne 70% de la production totale dans la région considérée.

La forte exploitation, combinée à la rareté relative de la ressource, est facteur de tensions socio-économiques et géopolitiques.

D’un point de vue socio-économique, les tensions naissent d’une part, au niveau micro-économique et social, de la concurrence entre les différentes sources de consommation : l’agriculture continue à consommer des quantités très importantes d’eau alors que l’urbanisation et par conséquent, la concentration des demandes en eau potable, se fait de plus en plus forte. D’autre part, au niveau macro, c’est l’avenir même des pays qui est en jeu : la raréfaction de la ressource implique une détérioration progressive du capital humain, handicape le développement industriel et agricole, entraînant, dans ce dernier cas, un accroissement continu de la dépendance alimentaire.

A ces difficultés socio-économiques viennent s’ajouter des tensions géopolitiques. En effet, la ressource en eau, rare, est aussi inégalement partagée entre les différents pays riverains : chaque zone, mis à part le Liban, a un taux de dépendance extérieure relativement élevé, ce qui est particulièrement le cas de la Syrie dont 80% de ses ressources proviennent des eaux de l’Euphrate qui servent à la consommation de la Turquie et de l’Irak. Les Territoires Palestiniens, dont la situation hydrique est déjà naturellement difficile, voient actuellement leur consommation fortement réduite du fait des prélèvements israéliens. La Jordanie est également contrainte de passer des accords avec Israël afin d’assurer un partage équitable des eaux du Jourdain.

Face à cette situation hydrique délicate et aux conséquences mentionnées, des mesures politiques ont été prises afin d’améliorer la gestion des eaux. Du côté de l’offre, les pays ont de plus en plus recours aux ressources non conventionnelles, avec, au premier plan, la construction et la réhabilitation des stations de traitement des eaux usées, majoritairement destinées à l’irrigation. La gestion de la demande se focalise principalement sur la rationalisation de l’utilisation de l’eau d’irrigation par l’introduction de techniques modernes telles que le goutte-à-goutte ou l’aspersion.

Toutefois, les mesures et leur état d’avancement diffèrent entre les pays, la Jordanie apparaissant notamment comme le pays le plus avancé, autant du côté de la gestion de l’offre que celle de la demande.

Afin de comprendre la situation générale de la zone, les disparités et les orientations des différents pays :
  • une première partie décrit l’état actuel des ressources et de la gestion de l’eau, ainsi que les conséquences géopolitiques engendrées par la raréfaction et le partage des ressources entre les pays.

  • Dans un second temps, l’analyse se focalise sur le secteur qui, aujourd’hui, est le plus consommateur d’eau et demeure par conséquent le plus enclin à des réformes d’envergure : le secteur de l’irrigation. Une attention particulière est donnée aux différents projets dans le secteur.""







Assainissement et carte





Le marché de l'eau au Liban :
coutumes et commissions


Texte réalisé d'après une compilation d'informations
Pour tout commentaire : webmaster@waternunc.com
Article mis en ligne en septembre 2003




Note liminaire

Le texte ci-dessous rassemble des informations de diverses sources. Elles mettent parfois en avant des instances politiques et certains rouages administratifs.
Aucun de nos interlocuteurs n'est donc cité dans ce texte. Toutefois, ce qui est évoqué ici fait régulièrement l'objet de développements dans la presse libanaise et internationale.

Les sujets abordés sont présentés sous forme de questions-réponses.





Comment est assurée la distribution de l'eau potable dans les villes ?
Le ministère de l'énergie et de l'eau est chargé officiellement de la distribution de l'eau dans le pays. Il y a un an (en 2002), la distribution était assurée par 28 offices régionaux et quelques 500 comités locaux.
Bien que ces offices aient fusionné en 5 établissement départementaux, en s'inspirant du modèle français, il ne sont toujours pas opérationnels. C'est le système des offices qui est encore en place.

La nouvelle loi sur l'eau, également alimentée par le modèle français, se heurte à de nombreux obstacles, notamment politiques et confessionnels.
Bien que les membres et les présidents des nouveaux établissements départementaux de l'eau aient été choisis, eux, selon le modèle libanais (c'est à dire un choix purement confessionnel qui ne prend pas en compte l'expérience professionnelle dans le domaine de l'eau) et que ces membres aient aussi été choisis pour leur obédience politique, cette situation a bloqué l'avancement de la modernisation du secteur de l'eau. Cette situation a également freiné les perspectives des organismes internationaux qui misaient beaucoup sur la nouvelle loi pour un changement radical des comportements dans ce domaine. D'où le gel de plusieurs projets de modernisation et du partenariat qui était prévu avec les Agences de l'eau françaises.


Et pour l'assainisssment ?
Dans la nouvelle loi sur l'eau il est prévu que les nouveaux établissement gèrent les eaux usées.
Ce secteur est actuellement dans les mains des mairies. Un conflit entre le ministère de l'intérieur et des municipalités et le ministère de l'eau est de plus en plus accentué pour la transmission de ce secteur vital.
Chaque ministère essaie de tirer son épingle du jeu compte tenu des enjeux financiers qui entourent ce dossier et de la possibilité d'embaucher du personnel, méthode très importante électoralement.
Ce bras de fer illustre le conflit à l'intérieur des instances de l'état libanais. Ainsi des liens familiaux relient parfois les responsables de certains ministères à des familles de députés ou impliquées dans des mouvements politiques.


Comment fonctionne l'attribution des projets ?
Le Conseil de développement et de la reconstruction (CDR) a l'exclusivité de la gestion de tous les projets d'états financés par des prêts internationaux. Etant donné que ces contrats représentent d'énormes sommes, les membres du conseil d'administration du CDR sont répartis en fonction de leur obédience aux hommes politiques. Les directeurs des projets sont également choisis selon des quotas, entre les 3 présidents -République, Conseil et Chambre- et les ministres clés du gouvernement.

Chaque membre du conseil d'administration du CDR défend les intérêts politique de son chef et essaie d'apporter le maximum de projets pour sa région électorale. Il tente surtout de faire bénéficier les amis qui disposent de bureaux d'études et de sociétés de travaux, de ces projets. Ce qui est fort remarquable dans ce système c'est que chaque membre du conseil d'administration a des actions dans des bureaux d'études, sous un faux nom et de ce fait s'octroie lui-même les projets. Cette situation se produit même lors d'un appel d'offres passé selon les règles du marché et les consignes des bailleurs de fonds, tout en sachant à l'avance qui va réaliser l'étude et qui va réaliser les travaux.
Il arrive très souvent que des bureaux d'études soient classés au premier rang sans qu'ils n'aient jamais réalisé d'études, sur simple appel téléphonique d'un homme clé de l'Etat.

Sur les montants globaux des projets une commission variable va à l'homme politique concerné. Le bureau d'études, ou la société qui a "gagné" le marché, sous-traite son projet à une autre société, prenant au passage une commission de 15 à 20%, cette société sous-traite finalement à une société locale n'ayant aucune expérience, mais pour des raisons politiques.
Conclusion : pour un projet dont le coût est de 100 millions d'€, la moitié de cette somme partira en commissions, et les travaux seront réalisés pour le quart du montant, le quart restant allant à l'entreprise qui réalise les travaux.


Ondeo-Liban, un difficile début d'expérience ?
Avec Ondeo-Liban la France (vu du Liban c'est la France et non une entreprise particulière) vit depuis 5 mois (à la date de mai 2003) une première expérience de gestion du secteur public par la gestion déléguée de l'eau potable à Tripoli.
Déroulement des faits : Ondeo-Liban se heurte à plusieurs obstacles qui sont mis en place par l'administration publique : l'Etablissement des eaux du nord du Liban.
Cette direction a encore en tête l'esprit du service public et considère Ondeo comme un fonctionnaire qui doit travailler selon ses points de vue. Mais on a constaté dans les 3 derniers mois un conflit ouvert entre Ondeo et l'Etablissement à propos de l'embauche d'une vingtaine de personnes.
Ondeo pensait pouvoir embaucher ces personnes sur des critères purement professionnels. L'entreprise française s'est heurtée à la technique libanaise des embauches. Celles-ci se résume à l'envoi d'une liste de 20 personnes par député et par ministre, sans oublier les Syriens.
Ondeo pensait qu'elle pouvait faire face à toutes ces sollicitations et a fait de la résistance. Cela a duré peu de temps. Le président de l'Etablissement exigeait la nomination et l'embauche de la liste des personnes envoyée par le ministre local qui l'a nommé et la rupture de contrat entre Ondeo et l'Etablissement était à deux doigts de se produire.
Il a fallu l'intervention de l'ambassade de France et du CDR pour trouver un compromis entre les deux protagonistes. Ce compromis aura d'ailleurs certainement l'aspect d'une réalisation à la "libanaise".


Comment l'eau arrive-t-elle aux robinets ?
Dans les villes du littoral il existe un système indépendant par lequel chaque immeuble possède son propre puit (cette eau est utilisée pour les toilettes, et les usages qui ne nécessitent pas une eau potable ; l'eau potable du réseau public est utilisée pour la boisson). C'est le principal argument de vente dans les grandes villes qui manquent d'eau sur le réseau public (coupures fréquentes).
Au ministère de l'eau et de l'énergie personne n'était capable d'indiquer le nombre de puits privés qui existent au Liban et bien sur aucune information sur la qualité et le débit d'eau des puits.
Le pompage incontrôlé de l'eau de tous ces puits pose la question de l'eau disponible dans les nappes phréatiques, de leur qualité et de leur renouvellement, essentiellement par la pluie. Or il n'existe aucune information tant sur les disponibilités des nappes que sur la pluviométrie. Sans réseau complet de mesure de pluviométrie (uniquement 3 stations pour tout le Liban), comment bâtir une politique de gestion de l'eau sans chiffres précis et fiables ? D'autant que la pluviométrie est très variable selon les régions et les préciptations peuvent varier du simple au double (de 50 à 100 millions de m3/an).
Cette situation dure depuis plus de 30 ans et a priori le Liban ne veut pas installer un tel réseau pour ne pas attiser l'appétit des pays voisins. Pour conclure sur ce sujet, tous les chiffres avancés par telle ou telle université, tel bureau d'études ou tel ingénieur sont estimatifs et n'ont aucune valeur scientifique.

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Liens Liban

sur les cartes UNDOF zone (United Nations Disengagement Observer Forces) http://perso.wanadoo.fr/lemezze/cartes.htm carte en français en bas de page MAE Ministères et organismes officiels

Ministère de l'économie et du commerce (en anglais et en arabe) : http://www.economy.gov.lb
Ministère des Finances : http://www.finance.gov.lb
Ministère des Travaux Publics : http://www.public-works.gov.lb
Ministère de l'Agriculture : http://www.agriculture.gov.lb
Ministère de la Santé Publique : http://www.public-health.gov.lb
Ministère de l'Environnement (en anglais) : http://www.moe.gov.lb
Conseil de développement et de Reconstruction : http://www.cdr.gov.lb
Parlement Libanais : http://www.lp.gov.lb
Administration Centrale de la Statistique : http://www.cas.gov.lb
Ministère de l'Industrie : http://www.industry.gov.lb
Institut des Finances : http://www.if.org.lb
Douanes Libanaises : http://customs.gov.lb
Banque du Liban : http://www.bdl.gov.lb
Sureté Générale : http://www.general.security.gov.lb
Chambre de Commerce et de l'Industrie de Beyrouth : http://www.ccib.org.lb

Autres sites utiles
Informations générales sur le Liban sur le site de la CIA (en anglais)
Pages Jaunes : http://www.pagesjaunes.com.lb
l'Orient le Jour : http://www.lorient-lejour.com.lb
Le Commerce du Levant : http://www.lecommercedulevant.com
Liban Contact : http://www.lb.refer.org



Conseil du développement et de la reconstruction (en français et en anglais)
Exemple d'appel d'offre lancé sur le site du CDR en date du 4 avril 2003 :


RÉPUBLIQUE DU LIBAN
CONSEIL DU DÉVELOPPEMENT ET DE LA RECONSTRUCTION
Conception, construction clés en main d’une station d’épuration des eaux usées à Bourj Hammoud

AVIS D’APPEL D’OFFRES


La République du Liban représentée par le Conseil du Développement et de la Reconstruction (CDR) lance un appel d’offres pour la construction d’une station d’épuration des eaux usées à Bourj Hammoud, sur la base d’un contrat de conception, construction clés en main.

Les prestations à fournir sont : la conception, les travaux de génie civil, l’achat et l’installation des équipements mécaniques et électriques ainsi que l’instrumentation, les tests et la mise en service de la station dépuration, l’implémentation d’un incinérateur de boues, la réhabilitation d’un émissaire marin existant ainsi que l’opération, la maintenance et la formation du personnel.

La station d’épuration de Bourj Hammoud sera financée par un ou plusieurs crédits à proposer par le participant à l’appel d’offres et dont l’origine est laissée à son choix (Crédit de Gouvernement à Gouvernement, Crédits export, Crédit commerciaux, ….). Seules les offres incluant une proposition de financement qui couvre 100% du coùt des prestations seront acceptées.

Pour la conception de la station d’épuration, les populations et les débits à prendre en compte sont les suivants :
Equivalent Habitants (Millions) Phase 2 : 2.2 ; Phase 3 : 3
Débit moyen journalier (m3/jour) Phase 2 : 330,000 ; Phase 3 : 446,000

L’appel d’offres est l’objet d’une compétition internationale ouverte.

Les candidats pourront avoir de plus amples informations en s’adressant au CDR et en consultant le Dossier d ‘Appel d’Offres à l’adresse ci dessous de 8 :00 à 17 :00 Heures (Heure Locale). Le Dossier d’Appel d’Offres peut être acquis par les intéressés à partir du 14/4/2003 moyennant le règlement de 15,000 (quinze mille) Dollars Américains par chèque bancaire certifié à l’ordre du CDR.

Une réunion d’information sera tenue le 13/5/2003.
Les offres doivent être remises à l’adresse ci dessous le 14/10/2003 avant 12:00 (Midi). Toutes les offres doivent être accompagnées d’une garantie d’offre d’un montant de 5,000,000 (Cinq Millions) Dollars Américains. Les offres remises en retard seront rejetées. Les offres seront ouvertes en présence des représentants des candidats souhaitant être présents à l’adresse ci dessous à une heure et une date qui seront fixées ultérieurement. Conseil du Développement et de la Reconstruction - Tallet Al Serail – Beyrouth - Liban, Tel : +961-1-980096 / 7 or +961-1-981431 / 2, Fax : +961-1-981252.


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